- BÊTISIER - |
B ÊÊÊÊ T
I S I E R
des
entiers postaux
Tous
les auteurs y sont cordialement invités ; et la délation est plus qu'autorisée, elle est souhaitée ! |
On l'avait sous le coude, et on n'osait pas le faire ... Trop tard !
Pour remercier les contributeurs, on offre aux
meilleurs de quoi faire la cuisine
( une idée de reconversion professionnelle ? )
Bibliographie |
Il y aurait tant de choses à y mettre. Mais par manque de temps, ou d'enthousiasme, on s'abstiendra.
Le plus rapide, pour éclairer le profane, serait de donner une listes "d'auteurs" mais
chacun peut s'en faire une. Il suffit, par exemple, de rechercher ceux des
textes mentionnés ci-dessous et de faire de même avec les revues de presse de "PhilFlash",
on obtient ainsi une liste significative ... et plus un nom revient régulièrement,
plus l'auteur est méritant (sabotage !) !
Une autre piste : la mention "de l'AEP" (club de
province qui s'est érigé en académie européenne) après un nom d'auteur
doit être reconnue comme un signalant un (très) possible grand danger.
Ce qui ne veut pas dire que ceux qui ont été largement repérés
comme écrivant des âneries (par incompétence ou par appât du
gain, car certains n'écrivent que pour "valoriser" des
trucs qu'ils ont prochainement l'intention de mettre sur le marché)
ne peuvent pas, parfois, écrire des textes honnêtes et intéressants.
Et l'inverse existe !
Deux en un font trois |
Dans "Timbres-M ..." de
novembre 2003 (n°40)
quelques lignes ("Erreur de Prêt-à-poster") dans la rubrique "Courrier" (p.12) mériteraient
une triple palme.
Une pour le lecteur, qui ne doit pas y connaître grand' chose
et n'a pas tout lu correctement ou (plus vraisemblablement) n'a rien compris.
Et une double pour la rédaction
qui a si chaudement "gratulé" ce lecteur-"spécialiste" (ce sont
eux qui l'affirment), a entériné tout ça sans essayer d'en savoir
plus ... et a renvoyé l'auteur (leur collaborateur) à ses
études en lui suggérant (en prime) de calmer sa joie et son excitation, sans même le
prévenir avant publication.
Affligeant quand on sait que les lecteurs (moi compris) payent 4,60 € tous les mois
pour y lire, chaque mois, des turpitudes de ce genre ! On doit être un peu maso !
L'origine de cette stupide "polémique"
(prévisible, et annoncée dès l'origine) est la
présentation, dans le numéro de septembre (p.93) de ce magazine, du récent entier
"sur-mesure" BNP avec trois timbres différents comme étant "le premier entier
postal composite français". Et le lecteur d'en dénombrer huit antérieurs.
Que seraient-ils ?
- il cite le mandat avec deux vignettes sans valeur (l'une en bleu au type
Sage et l'autre verte au type Semeuse lignée). Ces mandats ne sont pas réellement des entiers postaux (voir,
au chapitre "Généralités", la
définition du Docteur Joany) car sans valeur fiduciaire ; la figurine n'y est
qu'une marque de contrôle et de sécurité. Peut-être eut-il été prudent de le
signaler dans l'article, mais ... les "spécialistes" sont censés
le savoir ! (Nota : la Semeuse a été ajoutée sur les formules précédentes,
après retrait de celles-ci suite
à la débâcle de 1940) ;
- pour les sept autres je ne peux résister à citer intégralement le texte (du
moins ce qui en est reproduit) du lecteur-"spécialiste" : "cette remarque est
fausse car en 1893 les PTT ont émis sept cartes postales timbrées sur commande
au type Sage avec deux impressions du 1 centime pour la visite de l'escadre russe
à Toulon". Cela appelle quelques commentaires :
Difficile de "mieux" faire en si peu de mots,
sauf si on
a délibérément décidé de se faire connaître (à défaut d'autre capacité) par
l'attribution d'une palme du "bêêêtisier" du site (bravo, c'est gagné !) :
- tiens, les "PTT" en 1893 ...
- l'administration postale n'a jamais "émis de timbré sur commande pour la
visite de l'escadre russe". L'administration n'émet pas de timbré sur
commande ; elle
imprime, dans le cadre d'une réglementation stricte qui s'appelait (officiellement
et indifféremment) "timbrage à l'extraordinaire" ou "timbrage pour le compte de
particuliers", des timbres-poste sur des supports qui lui étaient fournis (du
moins à cette époque) par un client ;
- "composite" est un mot français, clairement défini chez "La Rousse" (ma
préférée), le "Petit Robert" (pas mon truc), et bien d'autres. Ce qui
exclut ces cartes avec deux timbres identiques.
En résumé : "Prout, Prout, Prout !". Et on a la délicatesse de vous épargner la
chute ...
En complément d'information, la carte citée n'est qu'une seule et même carte sur des supports
de nuances différentes, pas sept cartes. Mais ceci est sans importance,
car ce n'est même pas "réellement" une carte postale. À cette époque le timbrage à l'extraordinaire des cartes postales n'était pas
possible. C'est un commerçant ingénieux qui eut l'idée de faire imprimer des 1c,
exclusivement destinés aux bandes pour journaux, sur un support fourni par ses soins
(fourniture impérative à l'époque).
Le timbrage de bandes pour le compte de
particuliers a toujours obligatoirement été effectué en feuilles et
l'administration a livré à son client des feuilles portant une douzaine
(vraisemblablement, compte tenu de l'espacement vertical des figurines)
d'impressions de timbres censées correspondre à un nombre équivalent de bandes.
Et si son client les a ensuite débitées à la taille de cartes postales en
laissant deux timbres identiques sur chaque partie coupée, elle n'y est pour
rien. Rappelons qu'à l'époque il n'y avait aucune obligation de présenter au
timbrage le produit fini (entendre "avec toutes ses impressions"), seule
l'épaisseur inhabituelle du support pour des bandes aurait pu attirer l'attention de l'administration.
Quant
au nombre de sept avancé pour les couleurs du fond, rien ne peut le
confirmer. On peut même en ajouter ou en enlever selon l'appréciation
personnelle qu'on a des couleurs, en tenant ou en ne tenant pas compte des
variations dues au temps ; et le client aurait même pu fournir (sciemment
ou inconsciemment) des feuilles
toutes de nuances différentes les unes des autres !
Et ici c'est pas comme dans "Timbres-M ...", c'est signé ! (André Hurtré*)
À acheter pour rigoler (?) |
En plusieurs dizaines d'années de philatélie j'en ai lu (et j'en ai écrit !) des âneries. Mais je n'aurais jamais pu imaginer que pour 40 je "m'offrirais" un jour (de 2003) un résumé complet de toutes les stupidités connues, pompées ou nouvellement créées sur un sujet. Toutes les pages (si pas toutes les phrases) de l'ouvrage cité doivent mériter leur place ici !
Si vous avez envie de rigoler (ou de pleurer, selon l'humeur) je vous conseille le "Catalogue spécialisé des entiers postaux d'Algérie (2ème édition)" paru début 2002. Une réussite "inespérable" ... dans le genre !
Commentaires complets sur le site PhilFlash (dans le n°25).
La fin du texte de la "Chronique de Socrate" (anonyme !) du n°31 de "Timbres-M ..." daté janvier 2003 nous apprend que "il n'y a que les philatélistes pour être aussi précis". Bravo ! On peut lire en toute tranquillité, ce sera précis. Hélas "précis" n'a jamais voulu dire "exact" ... à moins que les rédacteurs ne soient pas des philatélistes ?
Et ça glisse dangereusement (en page 110 ) dans "Mon marché du mois" de P.J.M : Entiers postaux caritatifs "timbrés sur commande" concernant une enveloppe "PàP-Réponse" ("Handicap International").
Voici, ci-dessous, la reprise partielle d'un commentaire sur ce sujet publié, quelques jours après la sortie du magazine, dans le n°38 de "Phil'Flash" ( http://mapage.noos.fr/philflash )
Voilà le genre de
divagation nocive qui va mettre un peu plus de confusion
dans l'esprit d'un certain nombre de lecteurs et, hélas,
il faudra quelques années pour s'en remettre. Ces enveloppes font partie de la gamme "POSTRÉPONSE",
et voici ce qu'en écrit "La Poste" : Voici les trois enveloppes jointes comme exemple à une circulaire publicitaire de La Poste de novembre 2001 relative à "POSTRÉPONSE". Aucun doute : grand T, moyen T ou Marianne (ou autre vignette), même produit. Les PàP-Réponse ne sont donc qu'une nouvelle présentation possible de nos bonnes vieilles enveloppes "T", dont elles ont le même fonctionnement si ce n'est que les frais d'impression sont à payer à La Poste et non à l'imprimeur local. Que cela présente un intérêt postal, et même parfois esthétique (pas "la Handicap" !), est incontestable. Chacun est libre de collectionner ce qu'il veut, mais a d'abord le droit de savoir exactement de quoi il s'agit, surtout quand il paye une revue qui est censée l'informer. Il faut donc une nouvelle fois rappeler que, par définition un entier postal a une valeur fiduciaire (voir "Dictionnaire philatélique et postal", les ouvrages de Robert Joany, les catalogues ACEP ou F&S, etc.). Ce n'est pas le cas des "PàP-Réponse", même s'ils ont l'apparence d'un entier. Ce que les collectionneurs appellent "timbrage sur commande" consistait en l'impression sur un support du timbre-poste par l'Administration moyennant paiement de la valeur faciale, que l'entier soit ensuite utilisé ou non. En résumé, un Entier Postal, qu'il soit timbré sur commande ou non à une valeur fiduciaire intrinsèque. Les PàP-Réponse sont un service proposé par La Poste, qui ne fait payer le port que des plis retournés à la firme ayant souscrit à un contrat. Les informations existent, que ce soit
au Musée de la Poste ou même sur Internet, depuis près
d'un an sur le présent site (voir le chapitre "PàP-Réponse").
On y verra aussi, dans les tableaux publiés, que "Handicap
International" utilise des PàP-Réponse depuis bien
longtemps ... Il est déplorable d'écrire n'importe quoi sous le simple prétexte de faire du remplissage. André Hurtré * |
Ailleurs, ça cause ... |
Dans "L'Écho de la Timbrologie" de février 2003 (n°1760) un article original "Envoie-moi une lettre sonore" (consacré aux cassettes audio vendues dans les années 1980 par certaines administrations postales), illustré par des pièces qui ne sont pas faciles à recueillir, sauf si on a eu le flair, ou la curiosité, de s'y intéresser dès l'origine (ce qui, à la lecture des adresses de destination des pièces représentées, est le cas de l'auteur).
Par contre, quel dommage d'envoyer une
fois de plus (voir le texte précédent "Chez les
Champions, ça glisse") le lecteur dans un
labyrinthe, en mélangeant tout, et de lui infliger des définitions
personnelles folkloriques qui l'aideront ... à se
perdre encore un peu plus. Depuis des décennies le
terme "Entier postal" a une signification bien
précise. Un emballage, même vendu par une
Administration postale avec logo adéquat et fioritures
de rigueur, reste un emballage si son affranchissement n'a
pas été prépayé. Qu'un emballage soit vendu
obligatoirement avec une vignette d'affranchissement collée
n'en fait pas, non plus, un entier postal ; tout au
plus un "précurseur", s'il y a une suite. Dommage - l'idée était excellente -, mais ça en met une couche de plus dans le sens de la désinformation générale (bis, voir plus haut, mais ça fait beaucoup en trente jours d'autant que ça n'a pas la même "Marque de fabrique") ! André Hurtré * |
... puis ça répond |
Dans "L'Écho de la
Timbrologie" de mars 2003 (n°1761)
quatre pages de verbiage et d'approximation, mais hélas aussi d'inexactitudes
et d'erreurs sur "La carte postale-réponse".
Le temps consacré à la recherche a dû être limité à deux
coups de fil à des copains, et le calcul de la durée de vie de
ces cartes (qui est le sous-titre de l'article) être fait par
"calcul mental et rapide". Désolant !
Même quand on écrit sur des sujets qu'on connaît, il y a
toujours un risque d'erreur ; l'auteur ferait donc bien de
se limiter aux choses qu'il maîtrise, s'il y en a.
Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus, voir sur ce site le chapitre consacré
aux cartes postales, ou la "DOC'
n°42" de "Phil'Flash" ( http://mapage.noos.fr/philflash ).
Champions de philatélie |
"TimbrO' " étant devenu "Timbres-M ..." on a pris l'habitude d'y lire, entre autres, des chroniques ou des éditoriaux curieux, parmi d'autres choses amusantes (?). C'est la vie ...
Mais le hors-série (n°2, juin 2002) "Réponse à tout / Questions pour des champions de philatélie", comprend quelques petits chefs d'uvre ! Contentons-nous de voir un (on va quand même pas y passer la soirée) de ces articles (pratiquement tous anonymes, comme les chroniques !) concernant les entiers postaux :
"Entier
limougeaud" (p.9)
(Il s'agit d'une des
cartes TSC 15c Semeuse camé, pour l'exposition de
Limoges en 1930, oblitérée de l'exposition, non voyagée).
Même si ce genre de production a toujours
été réalisé "pour" des philatélistes au profit d'autres,
il est dommage de ne pas avoir mentionné la sixième
carte ("Jardins d'Orsay"). C'était l'occasion
d'informer (d'instruire) le lecteur (celui qui n'est
pas un philatéliste "d'en haut" comme "on"
se plaît à l'écrire) qu'il y en avait une
autre et qu'elle valait nettement plus cher. Cela aurait
pu lui être utile et, sait-on jamais, lui donner la
possibilité de faire un "chopin". Mais peu
importe.
Ce qui est plus significatif c'est la suite : "tirés
à 1000 exemplaires chacun (ils)
sont le plus souvent oblitérés du cachet de l'exposition".
On pourrait donc en conclure que les neufs sont plus
rares, donc peut-être logiquement plus "chers".
De plus si ce genre de cachet souvenir donnait une
quelconque plus value à un entier ça se saurait (essayez de vendre une carte Gandon avec une oblitération de la
Foire de Paris, ou autre).
Perdu ! Voici la suite : "sa
cote s'élève à 55 auxquels il faut ajouter les
13 de l'oblitération".
Aucun doute, vu la façon dont c'est rédigé, ce n'est
pas une coquille ! Il est précisé qu'il s'agit de
la cote du dernier catalogue Françon & Storch. Vérification
faite, la conversion franc / euro est correcte, mais ...
voici un petit conseil :
- Avant de faire des déductions hâtives, il serait bon
d'apprendre que dans la plupart (si pas tous) des
catalogues de nos régions la colonne de gauche concerne
les neufs et celle de droite les oblitérés.
- Moralité
: on est des champions, on est des champions (air
connu) ! Reste à savoir de quoi ... Mais pour la philatélie,
c'est bien mal barré.
Â(ne) H(onyme)
L'art du "mal lire" |
Que de choses intéressantes sur ce "Modèle" archivé au Musée de la Poste de Paris ! Quelle bonne idée de le publier ! Mais quel dommage de ne pas l'avoir regardé avant de rédiger le commentaire qui l'accompagne, et de s'être contenté de copier (et répéter) ce qui a été écrit auparavant par ailleurs° !
Haut de la page 597 de "Le Patrimoine du timbre-poste français" |
Émis le 23 mai 1969, imprimé par Oberthur à Rennes |
|
Le commentaire ci-dessus est cependant bien (trop) méchant.
L'ouvrage concerné ("Le Patrimoine du Timbre-poste français",
édité en décembre 1998 dans le cadre de la splendide
collection "Patrimoine" des éditions Flohic) contient,
pour un prix modique pour de tels ouvrages, près de 1000 pages - entièrement
en couleurs - de renseignements et d'informations (et tous
les timbres-poste français y sont reproduits en couleurs).
Il est d'ailleurs fort dommage que cet ouvrage très largement
diffusé auprès du "grand public" soit si peu connu et
si peu utilisé par les "philatélistes" (malgré sa
vente, à une époque, par le Service Philatélique de La Poste).
Et en 1000 pages, les erreurs sont inévitables, donc pardonnables.
NDC : des informations complémentaires sur la date d'émission de ce premier aérogramme français figurent au chapitre "aérogrammes" (en particulier l'explication concernant le "23 mai").
NDC (2) : et si j'avais craint que ce petit clin d'il amical coupe la soif à mon Parrain-Témoin de "Directeur-Scientifique", je ne l'aurais évidemment pas fait (mais de ce côté là, le risque est inexistant) !
° cet exemple est caractéristique de ce qui se passe au niveau des écrits philatéliques. Il suffit que quelqu'un écrive une ânerie - souvent excusable si on la remet dans le contexte d'origine, et qui peut même n'être qu'une simple faute de frappe - pour qu'elle se pérennise grâce aux divers pigistes ou pseudo auteurs qui nous vendent (directement ou indirectement) de "nouveaux" articles qui ne sont pas uvre originale mais mauvaises copies non vérifiées - et souvent non comprises - de textes antérieurs. |
Vous avez dit "entier" ? |
Histoire chantée en deux textes, et une morale !
Le premier, un peu récent (1999), nous vient du "Dictionnaire philatélique & postal".
Le deuxième, un peu moins jeune (1er novembre 1940), se trouve dans le Bulletin Officiel des Postes.
La morale de cette histoire (larirette, larirè-è-te) c'est qu' les collectionneurs rédigent le B.O. (cqfd).
Ça fait plus de soixante ans (et le Concierge n'est pas méchant - ou est très fainéant -, il n'a pas fait de recherche plus lointaine sur le sujet° !) que ça dure et on ne s'en était même pas aperçu !
° trouvé ultérieurement, par hasard, la même chose dans un BO des années 30 !
NDC : même remarque que plus haut pour le
"Patrimoine", ce n'est pas une (ou même plusieurs !)
erreur (ici bien mineure) qui fait qu'un ouvrage n'a pas un très
réel intérêt.
"Prêts-à"-... tout |
Bande de protection de la patte autocollante |
Ça manquait dans la gamme, mais les « "Prêt-à-'Dites-le
», c'est quoi ?
Quoi, on ne sait pas trop (ça doit être à ajouter) ; mais où, on sait : sur les "Luquet
cartonnées France 100g" (et ça dure : avec "République
Française" puis avec "RF") !
Enfants en danger |
On savait que nos enfants étaient en danger, ou du moins on le craignait, mais on n'aurait jamais pu imaginer que ce fut à ce point !
|
Et c'est l'Inspection Académique qui l'a fait écrire
(même le Concierge n'aurait jamais osé, et
pourtant !) et l'a payé. On peut leur faire
confiance, hélas, ils sont forcément mieux informés que
nous !
Humour militaire |
Qui a dit que nos militaires pouvaient parfois manquer d'humour ?
(k=0,20)
Il en faut pourtant une sacrée dose pour oser
convoquer nos jeunes aux "Journées du Service National"
à l'aide d'une enveloppe timbrée "Meilleurs vux" !
Charlot(s) ? |
J-C. Chaplain, auteur du type qui porte son nom,
arrivé deuxième au concours de 1875 (à la suite duquel fut
choisi le projet de Jules-Auguste Sage) mais qui fut utilisé
pendant de longues décennies sur nos formules pneumatiques (entre
autres), a été soudain transformé en Chaplin sur des cartes-lettres du service pneumatique de Marseille à 1,50 franc.
Devenu Charlot malgré lui, mais les vrais charlots doivent être
ailleurs.
(L'image pourrait suivre prochainement)
Pan sur le bec ! |
Cet espace est à la disposition de mes lecteurs !
Ce serait
amusant si mes lecteurs (s'il y en a) m'aidaient à m'y mettre (ça
doit pas être bien difficile à trouver) ...
* membre titulaire de l'Académie de Philatélie